Voyons maintenant comment est-ce que l’Ecriture sainte, et les Pères en parlent. […] En effet la danse n’est pas moins un divertissement sensuel pratiqué par les Païens, que les autres actions que les Saints blâment avec tant de zèle, et avec tant de force. […] Et certes c’est avec beaucoup de justice que les Saints ont combattu ces divertissements avec tant d’ardeur, puisque suivant le jugement qu’ils en ont porté dans la lumière de Dieu, ce sont des choses opposées à l’honnêteté et à la vertu, et des inventions du démon pour perdre les âmes. […] Le même Saint invective encore contre ce même divertissement, appliquant à la danse plusieurs paroles terribles de l’Ecriture, comme celles du Psalmiste ; Psal. 11, et 96. […] Talem choream ordinavit Satan post adorationem vituli. » Il poursuit, et continue à montrer que tous les péchés se rencontrent dans la danse, et que personne, quelque pure, et quelque sainte qu’elle puisse être, ne saurait y assister, qu’elle n’en sorte chargée de quelque péché.