[Divinae Institutiones], comme un principe incontestable, que la volupté des yeux, c’est-à-dire, celle qu’on prend aux spectacles et aux peintures, détourne ordinairement de la véritable sagesse : que les Philosophes ont reconnu qu’il fallait bien plutôt se réjouir à voir la beauté du Ciel et des étoiles ; que cependant ces Philosophes mêmes n’ont pas laissé d’assister à ces spectacles ; mais qu’il n’en doit pas être de même des Chrétiens, qui connaissant la vie bienheureuse, peuvent aisément voir que ces spectacles loin d’y conduire nous en détournent, et ne servent qu’à faire glisser la corruption dans le cœur. […] , « par l’expulsion des Comédiens, Jongleurs et Farceurs, qu’il chassa de sa Cour, comme des gens qui ne servant qu’à flatter et à nourrir les voluptés et la fainéantise, à remplir les esprits oiseux de vaines chimères qui les gâtent, et à causer dans les cœurs des mouvements déréglés que la Sagesse et la Religion nous commandent si fort d’étouffer.