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100. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

Les mœurs regardent l’âme, et consistent moins dans une certaine politesse, dans de certaines manières consacrées par le bel usage, que dans un cœur droit et pur, une conduite sage et réglée. […] et ne vaut-il pas mieux au contraire être seul sage, que fol avec la multitude ? […] Je le trouve honnête homme et d’un air assez sage. […] Et l’on demande aux partisans du Théâtre, (aux partisans raisonnables) s’ils sont eux-mêmes persuadés, qu’au sortir de ces Pièces, on reviendra plus parfait, plus sage, plus exact, et mieux disposé aux devoirs essentiels ? […] Car s’il est équitable, s’il est sage, les nouvelles Observations ne le sont pas.

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