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73. (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43

Guidé par la foi, ce flambeau lumineux, devant lequel toutes les lueurs des temps disparaissent, devant lequel s’évanouissent toutes les rêveries sublimes et profondes de nos faibles esprits forts, je vois sans nuages que les lois sacrées de l’Evangile et la morale profane, le sanctuaire et le théâtre, sont des objets inalliables. […]  » Voyez avec quel scandale cet homme renverse les rapports les plus sacrés. « Et tourne en dérision les respectables droits des pères sur leurs enfants, des maris sur leurs femmes, des maîtres sur leurs serviteurs. […] Ainsi conciles, synodes, évêques, théologiens, littérateurs profanes, auteurs dramatiques, écrivains illustres, hommes du monde, lois ecclésiastiques et civiles, autorité sacrée et profane, tout condamne le théâtre, tout parle de ses fruits amers pour la Religion, pour la société et la famille.

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