Comme la tragédie avait quelque chose de sacré dans son origine, d’abord ces acteurs furent regardés plutôt comme des prêtres que comme des baladins. 3°. […] Rapporté aussi par Marie-Nicolas-Silvestre Guillon, Bibliothèque choisie des Pères de l’Eglise grecque et latine, ou Cours d’éloquence sacrée, 1834, p. 400, note 1.