Le principe est vrai, il est sacré : (aux Heb. 13. v. 8. […] Des voix profanes, & des paroles sacrées ! […] O abîme incompréhensible du cœur humain, pour qui est une même chose & le profane & le sacré ! […] Non sans doute : aussi déjà, Vérité sainte, vous me semblez avoir dit qu’il ne faut que polir ces pierres brutes, & déjà je crois voir le cizeau sacré de la Religion dans la main de la Justice. […] Les fureurs de Saül : Poëme sacré, mises en musique par M. de Mondonville, & chanté au Concert-Spirituel.