On diroit que les poëtes supposoient que ce prince avoit les foiblesses des empereurs romains, & qu’il aimoit les apothéoses. […] Les sénateurs romains, ce consistoire des rois ; les censeurs, ces hommes graves, faits pour conserver les bonnes mœurs ; Caton lui-même, ce censeur si rigoureux, alloient aux spectacles. […] Ceux des sénateurs romains étoient que le théâtre est très-dangereux.