L’auguste majesté des parlemens de province est plus populaire, elle passe volontiers des fleurs-de-lys aux tréteaux, & se fait chanter par les impératrices romaines. […] Il ne manque ici que de faire dépouiller les actrices : mais il n’en est gueres besoin, l’immodestie de leurs habits, la licence de leurs gestes, de leurs mouvemens, de leurs œillades, favorisent le vice autant & peut-être plus que la nudité des actrices romaines.