Ce n’est donc qu’à raison de la bassesse de cet état, de la séduction, de la dépravation, qui en sont inséparables, que les lois Romaines ont constamment déclaré le théâtre infâme. […] Thomas, le lui laissent, parce que la loi Romaine, qui subsiste encore en Italie, ne l’oblige pas à le rendre : « Quod Meretrici datur repeti non potest ; turpiter facit, sed non turpiter accipit. » (L. id. de condic. ob turp.