Sur tout il nous a depeint celuy de Doüé en Anjou, où la nature a invité l’art, & a engagé la magnificence des Romains ; car il y a une coline si favorable, qu’il n’y a point eu de bastimens ny de depense à faire pour y eslever ny pour distinguer les divers degrez qui le composent. […] Il faudroit traduire les Originaux tous entiers, si on vouloit exactement décrire jusqu’où le luxe a porté l’imagination & la fureur des Romains, ou grossir extraordinairement cet Abregé, si je m’abandonois à toutes les surprises où je tombe, en lisant les differentes merveilles des divertissemens des Amphitheatres. […] Ce dernier Autheur croit en avoir veu qui sçavoient mesme écrire, ou du moins former avec leur Trõpe les lettres Romaines sans faute & sans méprise.