Les Français furent heureux tant qu’ils furent unis, tant qu’ils eurent du respect pour la religion et les lois, tant qu’ils aimèrent leur Dieu et leur roi ; mais, dès que les théâtres retentirent des maximes impies et libertines, leur bonheur disparut avec leurs vertus. […] Mais quand on a oublié et abandonné son Dieu, on n’est pas éloigné d’oublier et d’abandonner son roi qui en est le représentant.