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47. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

La farine qui couvre les têtes des Officiers, des Magistrats, des Jurisconsultes françois, n’est pas moins ridicule ; ce ne fut que sous les Empereurs perdus de débauches, qui ne connoissoient point de décence que la poudre d’or fut connue. […] Ce qui est un vrai ridicule. […] Properce en fait sentir le ridicule à sa maîtresse : Aut quid oronteâ crines perfundere myrrâ. […]  16. ont tourné en ridicule deux vieillards aussi aveugles que celui de Martial. […] (Un petit sentier) tout cela est ridicule ; mais n’en rions pas trop, nos parures ne le sont guere moins. 3°.

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