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100. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

Une Proserpine ou diablesse est parmi eux, et toujours distinguée par son accoutrement ridicule, et sa coiffure qui est la parodie des coiffures à la mode. […] Les jésuites s’étaient promis de donner sur le théâtre l’intelligence de cette ridicule et toute profane cérémonie. […] Ces cérémonies ridicules ont eu lieu jusqu’en 1684, un mandement de l’archevêque de Rouen les proscrivit. […] La chose était assez ridicule. […] Plus la chose était ridicule en elle-même, plus on s’efforçait de la rendre pompeuse et magnifique ; et, par ce moyen, elle devenait encore plus ridicule aux yeux des gens sensés.

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