Or si le bien est nul, reste le mal ; et comme celui-ci n’est point douteux, la question me paraît décidée. […] Mais si l’idée de l’innocence embellit quelques instants le sentiment qu’elle accompagne, bientôt les circonstances l’effacent de la mémoire, tandis que l’impression d’une passion si douce reste gravée au fond du cœur. [...] […] Ainsi je ne conçois pas comment dans ces productions d’esprit le bien est nul, et que le seul mal reste.