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398. (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54

Il ne me reste donc plus qu’à faire des vœux pour qu’il plaise à nos Antagonistes d’avoir à notre égard moins de prévention et plus de charité, pour que les Comédiens puissent en France comme partout ailleurs se posterner librement aux pieds des Autels et remercier Dieu D’avoir reçu de lui le talent enchanteur De parler à l’esprit par l’organe du cœur.

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