J’ai raconté en peu de mots les diverses révolutions qu’essuya un Art qui nous est si cher ; le Lecteur a vu d’un coup d’œil ce qu’il devint en Gréce, en Italie, & chez les Gaulois ; il ne me reste plus, pour achever d’en tracer l’histoire, que de rapporter tout ce qu’on en a dit d’avantageux, & l’estime singulière qu’en avaient conçus les Anciens.