La manière donc parle l’Eglise contre les Comédiens dans ses Rituels, ou dans les instructions que les Evêques y donnent, est une marque infaillible que les Comédies d’à présent, ne sont point purifiées de toutes ce qu’elles avaient autrefois de mauvais, et qu’il reste encore un retranchement considérable à y faire. […] S’il n’est pas permis d’aller à la Comédie, au moins quelquefois, dira-t-on, il ne reste presque plus de divertissement dans une grande Ville comme Paris, où il y a beaucoup de gens qui sont occupés à des travaux purement d’esprit.