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48. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

à un portefaix ; Qui a l’insigne faveur de porter la croix, signe du supplice de Jésus-Christ et l’objet de notre véritable rédemption, le sujet de notre vénération, et de tous nos respects ? […] Sans l’opinion, sans le respect public, les institutions ne peuvent obtenir aucune durée, et ceux qui ont un intérêt direct à leur conservation, ceux qui en sont les dépositaires et les administrateurs, doivent toujours tendre à les environner de la vénération des peuples ; car hors de là ils ne trouveront que désolation, abomination et destruction. […] Augustin, on peut le concevoir ; mais que le clergé de Mâcon se soit rendu coupable d’une telle infraction du respect dû aux choses saintes, en ouvrant les portes de la cathédrale de S.  […] A Chalon-sur-Saône, selon le Père Perry, jésuite, la veille du jour des innocents, les enfants de chœur élisaient parmi eux un évêque, et lui rendaient, autant qu’il en pouvait être capable, les honneurs et les respects qui sont dus à un véritable évêque. […] Mais cet éclat et ce grand appareil en imposaient au vulgaire, et lui inspiraient du respect.

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