/ 272
219. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

Les cheveux chez nos bons ayeux du tems de Clodion, étoient regardés comme le simbole de la liberté ; le respect pour la chevelure étoit même si grand, que la loi des Allemans, de 1630, prononce une très-grosse amande contre quiconque est assez téméraire pour couper les cheveux d’un homme libre, sans son consentement : Quand on se faisoit Réligieux on coupoit ses cheveux ; on le fait encore ; un moine par ses vœux se rend serf de Dieu, il étoit juste de lui faire le sacrifice du simbole de la liberté.

/ 272