Je distingue deux sortes de comédies, les unes sont honnêtes, modestes, et fondées sur la bonté de la conscience de ceux qui les représentent, ou les font représenter. […] Belle Sentence du grand Arnobe sur ce sujet. « Le comédien raconte les adultères, ou les représente, et le bateleur efféminé, fiche l’amour au cœur des assistants, lors qu’il les contrefait.