C’est que son Epicurisme affranchi de la servitude des préjugés, & se représente au bout de sa carriere un Dieu bon qui lui tend les bras, non un tyran imaginaire attendant aux bornes de l’existence, un être qu’il a créé foible pour le punir de ses foiblesses & lui faire expier par une éternité de douleur des plaisirs d’un instant.