/ 518
452. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

L’auteur de ce roman entreprend de les détromper ; mais c’est sur-tout au bien de la jeunesse qu’il croit travailler en écrivant ces mémoires. « Les peintures trop attrayantes d’un tendre amour, quelque vertueux qu’il soit représenté, intéresse, émeut, et la morale devient sans effet. […] Jérôme, la proie de la licence publique (victimæ libidinum publicarum) ; peu sensibles de voir des êtres usés par le vice en représenter les moyens et les effets, ils ont été ravis de voir employés à cette représentation les enfans de leurs concitoyens.

/ 518