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119. (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194

Or, est-il un délassement plus utile et plus innocent que celui de la comédie, disent ses défenseurs, puisqu’elle n’est autre chose, à la regarder en général, qu’une représentation naïve d’un événement agréable, assaisonné d’une satire fine et douce pour la correction des mœurs ? […] Loin d’y garder les bienséances, la pudeur y était offensée par des postures infâmes et par des représentations que les gens les plus déréglés, s’ils ne sont pas de la lie du peuple, condamneraient eux-mêmes aujourd’hui.

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