Je dirai encore et pour fin, qu’ès jeux la qualité d’iceux et des personnes, ne les rend pas seulement mauvais mais aussi le tropaf, ou importunité de ceux qui autrement ne seraient pas mauvais : car il faut qu’il y ait une grande modéranceag et qu’ils soient faits par nécessité comme nous avons dit du dormir et non pas si souvent, parce qu’il n’est pas tant nécessaire.