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531. (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57

Il fait voir, en parlant ainsi, qu’il ignore qu’une des principales règles de la comédie est de récompenser la vertu et de punir le vice, pour en faire concevoir l’horreur, et que c’est ce qui rend la comédie profitable. […] C'est une manière d’agir dont les tartufes ne se peuvent défaire et qui passe pour un des plus grands crimes que l’on puisse commettre, puisqu’il est malaisé de rendre la réputation à ceux à qui on l’a une fois fait perdre, encore que ce soit injustement.

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