N’est-ce pas s’en rendre en effet, que de le paroître, & s’en applaudir ? […] Qu’il l’auroit rendue intéressante, majestueuse, énergique, cette mere dont les tendres entrailles sont déchirées par ses enfans ! […] M. le Duc d’Orléans l’a fait Intendant de ses menus plaisirs, avec bonne pension ; s’est le Petronne du siécle, quarante ans dexercice l’ont rendu un habile maître. […] Le bel éloge du théatre de rendre les hommes foux ! […] Corneille rend orgueilleux, Racine efféminé, Crebillon & Arnaud rendent barbare.