Il n’a rien qui puisse le rendre suspect aux partisans du Théatre…. […] Et c’est ce qui en rend même la lecture souvent pernicieuse. […] Et ce caractere de vérité les rend infiniment plus touchantes. […] De même que la lecture des Romans rend l’esprit romanesque, l’assiduité au Théatre rend aussi l’ame tragique. […] La charge ne rend pas les objets haïssables, elle ne les rend que ridicules.