Puisque les danses sont d’elles-mêmes indifférentes ; il est nécessaire que nous examinions les conditions et les circonstances qui les peuvent rendre mauvaises : commençons par la qualité des personnes. […] si ce n’est peut-être, dit un de ces Docteurs, que la circonstance rende le péché moindre, comme si cette Danse se faisait en secret, et qu’on n’y employât que fort peu de temps. […] Enfin quand bien un Ecclésiastique pourrait danser secrètement, il y aurait toujours beaucoup de raisons, qui le rendraient inexcusable dans son péché.