à peine le regarde-t-on ? […] Non assurément : on regarde l’ouvrage comme un morceau de Peinture, ou de Poësie faits pour plaire ; & quand il réussit, on se persuade avoir lieu de croire que l’Orateur est content.
à peine le regarde-t-on ? […] Non assurément : on regarde l’ouvrage comme un morceau de Peinture, ou de Poësie faits pour plaire ; & quand il réussit, on se persuade avoir lieu de croire que l’Orateur est content.