Ainsi ces passions étant si pernicieuses, et produisant chaque jour tant de funestes effets, on peut connoître par là quelle obligation on a à la poësie, qui ne s’occupe qu’à les farder, et qu’à accoûtumer l’esprit à les regarder sans horreur. […] Ce que j’ai dit jusqu’ici ne regarde proprement que la representation des Comedies, mais on peut l’étendre aussi à leur lecture.