Celle-ci d’ailleurs ne vous étant point étrangère, j’ose espérer qu’elle fera excuser ma démarche respectueuse et que vous ne me refuserez pas votre bienveillante attention. […] N’avez-vous pas lu dans Cahusac et Noverre que Socrate dansait aux bals de cérémonie d’Athènes, et que Platon mérita le blâme des philosophes pour avoir refusé de danser à un bal que donnait un roi de Syracuse ?