Quelle fille n’auroit pas droit à la rose, si elle est dûe aux libertines reconnues ? […] Il vaut mieux combattre la vérité reconnue des faits ; il faut bien se garder de placer le vice dans un cœur scélérat, ce seroit lui faire tort ; c’est quelque chose de si sacré, qu’il faut le réserver pour les grandes ames.