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120. (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84

on le voit, on l’entend, on le reconnaît à chaque instant. […] Ouvrez les yeux, sortez de votre léthargie, reprenez les sentiments de foi dont vous vous êtes malheureusement dépouillés, et vous reconnaîtrez que ces spectacles que vous excusez avec une espèce de frénésie, sont l’antipode du Christianisme, et que c’est le comble de l’impiété et de la folie de vouloir les justifier comme n’étant contraires ni à l’Evangile ni aux bonnes mœurs. […] Hélas, il n’y a personne qui ne reconnaisse alors que c’est véritablement un péché de fréquenter les Théâtres, et qui ne demande pardon au Seigneur d’y avoir été.

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