7, soutient que rien n’est plus contraire aux bonnes mœurs que d’assister à quelque spectacle ; que l’ame s’y trouvant séduite par le plaisir, reçoit aisément les méchantes impressions du vice ; & tout Stoïcien qu’il étoit, il avoue qu’il en sortoit plus avare, plus ambitieux, plus porté au plaisir & au luxe. […] La pureté prétendue qu’on attribue au théâtre moderne, n’est donc tout au plus qu’une pureté, apparente, qui n’adoucit les images du vice que pour le faire recevoir avec plus de facilité, en le rendant moins affreux, & par conséquent moins haïssable. […] qu’ils sont dignes de la fille du Roi très-Chrétien & de l’auguste Reine, qui honore bien davantage, par le lustre de ses vertus, le premier trône de l’univers sur lequel elle est assise, qu’elle n’en reçoit d’honneur par l’éclat qui l’environne.