La République aujourd’hui plus sage ne souffre pas que son théatre attaque des Têtes couronnées ; il est vrai aussi qu’aujourd’hui les Princes moins sensibles à ces insultes, les mépriseroient avec raison, s’ils en étoient instruits. […] Il peut même se faire que ce Prince effeminé, à qui vraisemblablement ses débauches procurerent la goutte qui le fit mourir, usoit beaucoup de parfums, par les mêmes raisons ; ce qui est une secrette & ironique censure.