Il a raison, dit-elle en riant, j’ai oublié mon Latin. […] Cette Princesse fut d’abord confiée à sa faute, qui par cette raison étoit forcenée contre Rome. […] Il a raison. […] Elle avoit raison de dire : Je pourrois être sa grand’mere. […] Elle lui avoit envoyé en Flandres son portrait, enrichi de pierreries, avec une belle lettre de sa main, qui portoit : Si des raisons d’Etat ne me tenoient attachée, je serois allée en personne.