Car enfin, c’étoient là les crimes, dont on les chargeoit & nous avons encore les eloquentes Apologies, qu’ils publioient pour répondre à ces glorieuses accusations. […] Et ne me dites pas ce que quelques libertins opposerent autrefois à saint Ciprien, que l’Evangile, que l’Ecriture Sainte ne defend nulle part ni les bals, ni les comedies, ni les mascarades, l’Ecriture (répond ce grand Saint) a plus dit en se taisant, que si elle s’êtoit expliquée par des defenses expresses ; elle a eu honte de faire un precepte pour des choses, qui êtoient si visiblement indignes du Chrêtien, qu’elle formoit. […] Je sai bien ce que vous avez à me répondre, pour colorer un si étrange dereglement.