Que doit-on répondre à ceux qui disent qu'ils y vont sans aucune mauvaise intention, et qu'ils savent séparer ce qu'il y a de mauvais, et de vicieux d'avec ce qu'il y a d'honnête, et de conforme aux bonnes mœurs ? […] Il faut leur répondre qu'il n'est pas possible de séparer dans les spectacles l'agréable d'avec le licencieux, et que c'est se tromper que de croire qu'on n'aime pas le péché quand on aime ce qui le cause.