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142. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

Les airs lugubres, que jouent les instruments de musique, répondent à cette triste décoration. […] Il ne répond pas. […] On lui dit de répondre par signe. […] On lui demande s’il est l’esprit de quelqu’un d’enterré dans l’église ; il répond oui. On lui nomme plusieurs personnes ; on arrive enfin à celui de la femme du prévôt : il répond oui.

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