Pourquoi ce sang répandu sur la croix pour nos péchés, si la satisfaction de nos besoins physiques, si nos fonctions intellectuelles, si l’entraînement des passions qui constituent notre être peuvent à chaque instant nous faire tomber dans le péché, et nous précipiter dans l’abîme ? […] La triste condition de l’humanité, les souffrances physiques, les chagrins moraux agitent assez les premiers, nous font répandre assez de larmes véritables, assez de larmes amères.