Le profane vulgaire, animal sans yeux, sans réflexion, sans jugement, prit ce genre honteux sous sa protection, & par son affluence journaliere aux Trétaux, parut le consacrer. […] Les uns, assaillis par les réflexions les plus ameres, cherchent à se débarrasser de leur importunité en se précipitant dans un sommeil pesant & laborieux, qui les accable. […] combien ils ajoutent à nos réflexions & à nos sentimens !