On les a vus faire foule avec les hommes les plus frivoles, les plus énivrés des plaisirs bruyans et folâtres ; on a vu des dévotes, des cénobites, des prêtres du Dieu vivant, quitter leur retraite au déclin du jour, et accourir vers ce lieu magique et enchanté, avec l’inquiétude de l’empressement ; comme l’on voit à l’entrée de la nuit, ou au bruit de quelque tempête subite, tous les oiseaux des airs se précipiter dans l’asyle des forêts.