Car j’avoue que ce n’est ni un de mes amis, ni une personne de qualité, ni une espèce de défi (discours d’Auteurs si rebattus dans les Préfaces) qui m’ont engagé à ce travail. […] Et l’on remarquera ici par forme de digression, que ces qualités mêmes qui font la gloire de l’Auteur, font justement la peine du Traducteur ; l’idiome Anglais dans sa perfection étant infiniment opposé au tour Français.