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363. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132

 » Si l’on n’avait rien retranché dans les Comédies, et qu’elles fussent aussi mauvaises qu’elles l’ont été, il n’y aurait que les libertins qui y iraient : les personnes de qualité et de vertu en auraient de l’horreur : au lieu que l’état présent de la Comédie, ne faisant ce semble aucune peine à la pudeur, on ne se défend pas d’un poison qui est d’autant plus dangereux qu’il est caché ; qu’on l’avale sans le connaître, et qu’on l’aime lors même qu’il tue.

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