/ 301
82. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200

Ce qui souille par la bouche, souille par les yeux et par les oreilles, ce sont les avenues du cœur ; serait-il bien pur, si ce qui y conduit est corrompu ? […] Le soleil et Dieu même le voient sans en être souillés, ses rayons tombent sur une cloaque et ne sont pas moins purs. […] « 29.° Si vous ne pouvez vous passer de plaisir, n'êtes-vous pas ingrats de mépriser les délices pures que Dieu vous offre ?

/ 301