Despréaux, et les autres qui ont traité depuis peu des pratiques du Théâtre, ont-ils donné des règles plus pures, plus honnêtes, plus louables ? […] Si une âme si pure, si sainte, si élevée a été quelque temps sans connaître le mal que faisait en elle la lecture des Romans, doit-on attendre que les gens du monde apercevront aisément le mal que produisent dans eux les Comédies ?