Ce qu’il y a de plus pur , dit-il, se trouve en contraste avec le mœurs de ceux qui les représentent, s’altére en quelque sorte, par les jeux des Acteurs, & devient nuisible par les idées qu’ils font naître : & comment des Actrices, toutes dévouées à la volupté, dit Mr. de Boissy, ne l’inspireroient-elles pas ? […] D’ailleurs, au commencement de la Tragédie la plus pure, n’y a-t-il pas un Prologue, qui quelquefois ne l’est gueres ? […] Plus les mœurs d’une personne sont pures, dit le Comte de Valmont, tom. 2. pag. 84 ; plus sa piété partout ailleurs est édifiante, plus aussi elle devient un sujet de scandale… dans ces lieux dangéreux.