» « L’amour du beau est un sentiment aussi naturel au cœur humain que l’amour de soi-même : il n’y naît pas d’un arrangement de Scènes, l’Auteur ne l’y porte pas, il l’y trouve ; et de ce pur sentiment qu’il flatte, naissent les douces larmes qu’il fait couler. […] Anciens avaient pour maxime que le pays, où les mœurs étaient les plus pures, était celui où l’on parlait le moins des femmes, et que la femme la plus honnête était celle dont l’on parlait le moins. […] Où est la pure joie et la véritable allégresse ? […] Non, il n’y a de pure joie que la joie publique ! […] [NDA] Pourquoi tout ceci se trouve-t-il en pure perte dans un mauvais livre ?