Ce caractère monstrueux est en pure perte pour celui d’Auguste : en lui pardonnant, il reste toujours Tyran ; c’est la crainte et la politique seules qui lui arrachent ce pardon, et non pas la clémence.
Ce caractère monstrueux est en pure perte pour celui d’Auguste : en lui pardonnant, il reste toujours Tyran ; c’est la crainte et la politique seules qui lui arrachent ce pardon, et non pas la clémence.