La pudeur est l’appanage, ou plutôt l’essence des femmes ; elle doit être l’ame de toutes leurs actions. […] La musique & la danse ont été les premiers écueils où leur pudeur a fait naufrage. […] La seule exposition de la personne d’une femme sur un théatre, fût-elle la plus vertueuse & la plus modeste, blesse la pudeur ; que sera-ce d’y exposer des femmes de mauvaise vie, avec toutes les amorces de la volupté ?